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Biologie, physique quantique et numérique
( 26/02/2016)


De la mémoire de l'eau...
...à la biologie numérique





"L’eau et l’électromagnétisme : le point de vue de la science"
par le professeur Marc Henry ,
physicien à l'Université de Strasbourg
- Hochfelden - 24 Juin 2014 -



cluster d'eau


Si sa formule chimique (H2O) est toute simple, la réalité est bien différente.
Depuis Galilée et son expérience sur la glace qui flotte sur l'eau, elle a fait beaucoup parler d'elle.

Dans les textes religieux, tout commence avec elle. L'eau est synonyme de vie.

Quand nous recherchons des traces de vie sur d'autre planète, c'est d'abord à elle qu'on s'interesse.

L'eau soulève bien des questions :
Pourquoi est-elle un diluant si extraordinaire ?
Pourquoi est-elle liquide à température ambiante, alors que les corps voisins aussi légers son gazeux ?
Pourquoi à l'état liquide est-elle plus dense qu'à l'état solide ? Sait-on l'expliquer ?
Pourquoi la vie a-t-elle fait son apparition dans l'eau avant toute chose ?
Pourquoi passons-nous nos 9 premiers mois dans son intimité, au sein de notre mère ?

L'eau ne pèse pas bien lourd, mais le corps des humain est composé de 99% de molécules d'eau.
Et si l'eau était sensible à l'electyromagnétisme, comme nous en sommes composé à 99%... ne le serions-nous pas aussi ?
Quelles en seraient les conséquences ?

Aujourd'hui, la communauté scientifique y voit un peu plus clair,
notamment grâce à l'interaction plus fréquente entre 2 domaines scientifiques jusque là distinct :

La biologie moléculaire et la physique quantique.

Les nanostructures naturelles qui compose l'eau ont été identifiées : les cluster d'eau.
Ces structures apparaissent du fait des liaison hydrogènes dont la nature n'a été comprise que récemment.

Ces clusters délimitent un domaine de cohérence de 50 micron environ (à 300 K soit 27 °C env.).
Les molécules qui composent la structure de domaine changent constamment, certaines rentrent, d'autres sortent,
Les domaines de cohérences sont distant de 75 microns environ.

Pour comprendre ce qu'est un domaine de cohérence, on peut imaginer un vol d'étourneaux, comme dans cette video.
Le vol de chacun des étourneaux est très imprévisible, mais le nuage formé par les étourneaux peu facilement se suivre.
Il en est de même pour un banc de poisson, comme dans cette video.


Avec une Ola, cela marche aussi !


Ainsi, une foule en mouvement peut apporter autre chose que de la panique ou du chaos...
... et donc une certaine cohérence... voire du sens !

* * *

Avec les molécules d'eau, c'est pareil !

1 domaine de cohérence est composé d'environ 11 milions de molécules d'eau .
18 g d'eau, soit 1 mole d'eau, comprend environ 1016domaines de cohérence.

A l'intérieur de ces domaines, comme l'eau est polaire, et donc composées de charges fluctuantes,
un courant et donc un champ électromagnétique est susceptible d'exister.
La video suivante montrent bien comment ce produit cette fluctuation.

***

A l'échelle de ces domaines de cohérence, l'état quantique de la matière est palpable, notamment la fluctuation du vide
(la permittivité du vi
de ε0 , comme la perméabilité magnétique du vide μ0 n'étant pas nulle,
nous savons en effet depuis 1864 avec Maxwell que le vide ... n'est pas vide)


Les 2 champs électromagnétiques précédents,
celui en provenance du mouvement des charges, comme celui provenant des fluctuations du vide
sont susceptibles de se coupler (video : 26'30).

***

L'eau est capable d'utiliser l'énergie de ces ondes électromagnétique, et  ;
 - ou bien de "jouer perso" et de conserver un moment pour elle-même l'onde (énergie electromagnétique) puis la restituer au vide,
 - ou bien de "jouer collectif" la transferer à une autre molécule d'eau, et donc de partager ces ondes électromagnétiques


Analogies

Un orchestre ! (avec une armée, ça marche aussi)

Jouer individuel


Comme des musiciens qui sont dans la fosse et qui attendent tranquillement...
l'un regarde le plafond de la salle (Chagall !), l'autre accorde son instrument,
deux bavardent (comme dans la grande vadrouille),
un autre baille aux corneilles, un dernier joue avec son portable...

Ils sont comme les petites molécules d'eau, loin des domaines de cohérence,
Ils sont nombreux et jouent perso. Tout peut arriver, et l'a
mbiance est chaotique,
ce qui se dit en physique quantique : Delta Phi tend vers l'infini  (Δφ→∞)
Le chacun pour soi règne. A chacun son quant à soi. Le partage est absent,
ce qui se dit en physique quantique : Delta N 
tend vers 0  (ΔN → 0)


Arrive l'information, la mission, la partition musicale ... l'ADN
Le chef d'orchestre tapote avec sa baguette sur son pupitre... le signal retentit...


Jouer collectif

... nos petites molécules s'agittent dans leur cluster et partagent l'information.
Dans la fosse, il ne s'agit plus d'une foule d'un seul, mais d'un ensemble,
ce qui se dit en physique quantique : Delta N tend vers l'infini  (ΔN → ∞)

Toutes et tous participent à la grande mission.
Elles et ils ne font plus qu'un.
Il sont réunis autour d'
une oeuvre, d'un but commun unique,
ce qui se dit en physique quantique : Delta Phi tend vers 0 (Δφ→ 0)

L'information passe, le sens !

Pour approfondir, voir les explications plus complètes sur ces 2 liens de Marc Henry :

Structuration de l'eau en domaines de cohérences

Structure quantique cohérente et incohérente de l'eau liquide


Diaporama de Marc Henry


Ce qui précède est directement issu de la mécanique quantique
et du principe d'intertitude d'Heinsenberg  : ΔE·Δt ≥ h/2π
La phase*  
φ=E·t/   du champ quantique décrit le milieu, c'est à dire le comportement du milieu.
On a en dérivant
Δφ = E.Δt /2π . Avec les 2 équations ci dessus, on a : ΔN·Δφ≥ 1

Une interprétation est que le sens est relié aux nombre d'individu qui le partage.
Pas de partage et chacun pour soi (
ΔN → 0), donc nombre infini de sens ou chaos (Δφ→∞)
Partage entre tous (
ΔN → ), un sens est alors possible (Δφ→0)

* * *
Dit autrement, dans une foule d'individu où chacun est indépendant,
il n'y à aucune combinaison d'ensemble et donc le que le nombre de quanta N ne fluctue pas : ΔN → 0,
et comme tous sont indépendant, le comportement de la foule est imprévisible,
c'est 
le chaos musical et le mouvement d'ensemble par dans tout les sens, c'est à dire Δφ→∞
il est impossible de fixer le comportement de l'ensemble (la phase*
φ du champ quantique - voir ci-dessous)

Au contraire, si les individus parlent d'une seule voix en jouant la même partition,
ce qui revient à dire qu'il 
est possible de fixer le comportement  (la phase du champ quantique)
de l'ensemble des musiciens  (ou des étourneaux du nuage d'oiseaux) : on a donc Δφ→0,
et dans ce cas, le nombre de quanta (le nombre de combinaisons possibles) peut varier fortement,
un musicien pouvant se substituer un autre (tout comme un étourneau dans le nuage),
et
l'oeuvre garde son unité même si plusieurs musiciens arrivent ou quittent l'ensemble : ΔN →  

Tout cela se résume  (physique quantique)  en :
Jouer individuel = Incohérence : Δφ→∞  ΔN → 0 
Jouer collectif = Cohérence : Δφ→0 et ΔN → ∞

- - -
*Phase : dans ce qui précède, il s'agit de la phase du champ quantique décrivant le milieu ,
selon la terminologie utilisée par Marc Henry. Plus généralement,
dans un mouvement oscillatoire de type sinusoïdal d'amplitude maximum A,
u
ne particule se déplaçant le long de l'axe des x a un déplacement x(t) = A cos (φ),
ou φ est appelée la phase  (avec φ = ωt + φ0, φ0 étant la phase à l'origine et
ω la vitesse angulaire).
La phase caractérise aussi les différents états possibles d'un
système
.
Ces 2 notions ne sont pas exclusives l'une de l'autre comme l'illutrent les liens suivants : 1, 2, 3, 4.




Le jeu individuel se produit notamment à l'état gazeux, lorsque les molécules sont trop loin pour interragir entre elles,
ou lorsque les molécules d'eau à l'état liquide ont peu d'interractions entre elles. On parle alors d'eau incohérente.

En revanche, au sein des domaines de cohérence, le jeu collectif se produit.
On parle alors d'eau cohérente.

A la température ambiante, la proportion d'eau cohérente / incohérente est de 40%  /  60%


Voir ci-dessous un schéma qui résume tout cela




Explications (plus) scientifiques

Voir ci-dessous les 2 planches ou le mécanisme ci-dessus est expliqué




Le passage de l'eau d'un état à l'autre nécessite une énergie de 0.26 eV,
ce qui n'est pas en chimie une énergie très importante.
Cela correspond à des énergies de 5 microns de longueur d'onde environ,
qui peuvent être fournies par le rayonnement infrarouge émis par notre planète
(qui réémet majoritairement sous cette forme l'énergie reçue du soleil)


Energie du photon en Joule
E=hc/λ  (avec λ=lambda=longueur d'onde, en m)  ou E=hv (avec v=nu=fréquence du photon, en Hz)
h=constante de planck = 6.6260695729 . 10
-34 m2 kg / s, ou encore h ≈ 4,134 335 9×10-15 eV⋅s
Pour E=0.26 eV, on a λ =  4,1×10-15 × 3×109 × 106 = 4.77 μm

E (eV) λ ( μm) v ( Hz)
0,26 4,8 6,29E+13
0,062 20,0 1,50E+13

Spectre électromagnétique


Les ondes electromagnétiques présentes dans les domaines auraient une longueur d'onde lambda dans l'infra rouge,
proche de la longueur d'onde que la terre emet (
de 5 à 20 micron).







L' énergie présente à l'intérieur d'un domaine de cohérence et captée par l'eau (tq l'énergie de fluctuation du vide)
est suffisante pour faire passer l'eau des cluster à une énergie potentielle de 12.1 eV.
L'excitation (arracher un électron à l'eau) se produisant à 12.6 eV. Le gap a franchir est relativement faible (0.5 eV).
(voir video à 58'00)



Un simple rayonnement infra rouge suffit à produire cette ionisation
et à l'intérieur du domaine de cohérence, le courant induit est de type supraconduction et ne s'arrête jamais.

Le domaine de cohérence étant soumis au champ magnétique terrestre (45 à 50
micro Tesla)
ses courants génèrent des ondes électromagnétiques de l'ordre de 1.4 MHz (ondes radio) - (cf. video à 1:00:00)

* * *

A leur tour, les domaines de cohérence peuvent se synchroniser via des ondes solitons,
comme cela se produit lors de la synchronisation de 2 horloges sur un même support.



Comme
Huygens l'avait remarqué en 1665, 2 horloges sur un même mur finissent par se synchroniser.
Il aura fallu attendre 2015 pour que
l'énigme trouve sa solution (cf. Nature) :
Des ondes sont produites deux fois par cycle de battement, provoquées par le clic de l’échappement,
c
es ondes solitaires traversent le mur sont un cas de ce que l’on nomme en physique des “solitons“.
Les perturbations réciproques se compensent quand les battements des horloges sont en opposition.

Les solitons sont des ondes qui ne perdent pas d'énergies lorsqu'elle se propagent (photo).
Ce sont ces mêmes solitons qui, générés dans l'océan par les ondes d'un tremblement de terre,
grossissent en approchant des bas fonds des côtes, provoquant des tsunamis.




Diaporama de Marc Henry



Cette synchronisation inter domaine s'effectue donc à une fréquence de l'ordre de 1 à 3 kHz.

- (cf. video à 1:00:00)


* * *
On remarque que ces ondes émises par l'eau ont des fréquences comparables aux ondes électromagnétiques des appareils qui nous entourent, et sont donc capables de perturber un processus d'une matière dont nous sommes fait à 99%.





Les ondes captées dans l'eau.... et l'homéopathie

Les travaux récents montrent que l'eau est capable de garder en mémoire une information de nature électromagnétique.

Une des explications avancées est que les clusters sont susceptibles de conserver en leur sein ,
sous certaines conditions de température (moins de 60°C), et durant un certain temps a priori long (supraconduction),
les ondes électromagnétiques qu'ils ont captées. Ce mécanisme expliquerait entre autre l'homéopathie.

Le principe de l'homéopathie, encore inconnu, serait le suivant :
Les molécules chimiques délivreraient à l'eau un message sous forme d'ondes, ces ondes étant captées par les clusters.
Ce mécanisme atteindrait un maximum d'efficacité à haute dillution, quand seules les ondes seraient présentes.
Après certaines dillutions, les molécules ont disparues... mais pas les ondes piégées par les clusters.
Les ondes sont toujours en effet toujours présentes, puisque la concentration des clusters dans l'eau est indépendante de la dillution !
En revanche, la dillution en homéopathie renforce la puissance du traitement... Il reste donc encore beaucoup de chemin à entreprendre,
entre cette piste de recherche, et une explication des mécanismes de l'homéopathie...
... et pour un médecin,
sortir de son cadre habituel en intégrant des connaissances en physique quantique, c'est pas gagné ! ... à suivre !


Image issue du blog "La nature de l'eau" de Yann Olivaux - voir ici






Les ondes et leurs origines terrestres...
... les impacts sur le vivant

Les ondes captables par ses domaines de cohérence peuvent avoir différentes origines :
le vide, la terre*, les battements de coeur des animaux, toutes les émissions electromagnétiques du monde moderne.



*La terre et les ions en rotations
(voir video à 1:00:20)

(*) Les ondes (resonances de Schumann) créées par la foudre restent piégées à l'intérieur du plafond de l'atmosphère créé par le bord inférieur de l'ionosphère. La surface de la Terre forme avec l'ionosphère un gigantesque résonateur dont les fréquences de résonance varient en fonction du temps au cours du jour et de la nuit.
On peut considérer que les rythmes liés aux resonances de Schumann  ont conditionné les êtres vivants.

Ces ondes correspondent aux fréquences cyclotron des ions spiralant autour des domaines de cohérences, et sont captées notamment par les végétaux pour animer leurs ions.

f = fréquence  de rotation de l'ion sur lui-même, c'est à dire sa fréquence cyclotron, et on a : f = ω / 2π =  z e B / m   avec :
    ω = vitesse angulaire de l'ion qui tourne sur lui-même
    z = charge de l'ion en valeur absolu ; pour l'ion Calcium Ca2+, z = 2 (pour 2 fois celle de l'électron)
    e = charge de l'électron = 1.6×10-19 (Coulomb)
    B = champ magnétique terrestre = 45 μT = 45 micro Tesla (celui-ci varie et peut aller par exemple jusqu'à 50 μT et plus...)
    m = masse de l'ion ; pour le Calcium : 40 × unité de masse atomique valant 1 Da = 1.66 × 10-27  kg
    on a donc après calcul : f = ω / 2π  = z e B / 2π m = 34,5 Hz . Soit f = 34,5 Hz pour l'ion Calcium
    Pour le Sodium, z = 1 et m = 23 Da (au lieu de 2 et 40 pour le Calcium), et on a : f = 30 Hz pour l'ion Sodium,
    f=20 Hz pour le Potassium K+
(z = 1 et m = 39 Da), et f = 57 Hz pour le Magnesium Mg2+ (z = 2 et m = 24.3 Da)


Ces fréquences de rotation des ions de nos cellules sont très proches des fréquences de fréquences de Shumann
(exemples : f = 20.8 Hz , 27.3 Hz,  33.8 Hz sont des resonnances de Schumann)


Le Calcium joue un rôle primordial dans la mort de nos cellules
(suicide cellulaire naturel)
Notre organisme met en effet fin à leur jour en faisant entrer le Calcium dans nos cellules qui meurent naturellement par apotose.


Et les impacts sur le vivant ?


Exemple d'expérimentations scientifiques et médicales sur les impacts des champs sur le vivant

Induction of Intracellular Calcium Oscillations in Human Skin Fibroblast Populations
by Sinusoidal Extremely Low-Frequency Magnetic Fields (20 Hz, 8 mT)
Is Dependent on the Differentiation State of the Single Cell


La traduction de l'abstract de l'article en résume ci-dessous les impacts :
Des expériences ont été réalisées pour déterminer si l'exposition de court terme à un champ électromagnétique de fréquence extrêmement basse sinusoïdale (20 Hz, 8 mT) peut modifier la dynamique du calcium intracellulaire dans les fibroblastes diploïdes de peau humaine.

Dans les populations hétérogènes de fibroblaste, environ 30% des cellules ont répondu à un changement dans l'activité d'oscillation du calcium intracellulaire en 40 min. Il a été démontré au niveau de la cellule unique que la réactivité des populations de fibroblastes à extrêmement basse fréquence des champs électromagnétiques dépend de l'état de différenciation particulier de la cellule exposée.
Les données obtenues indiquent clairement que les fibroblastes progénitrices mitotiques répondent par une amélioration de la dynamique du calcium, alors que dans les fibrocytes postmitotiques une réduction de la dynamique a été observée lorsque les cellules sont co-stimulées avec des concentrations suboptimales de facteur de croissance dérivé des plaquettes.
Ainsi, les données de notre laboratoire sur la différenciation terminale induite par une très basse fréquence des champs électromagnétiques
peuvent être corrélés avec les changements dans la dynamique de Ca2 + rapportés ici.



Retour aux origines

Tout à commencé il y a quelques années... en 1988... 


Jacques Benveniste... un précurseur ?

Ce chercheur est connu pour sa découverte en 1971 d'un facteur activateur des plaquettes sanguines.
En 1988, ses travaux en immunologie l'ammène à formuler l'hypothèse
que l'eau conserve des propriétés d'une substance qui ne s'y trouve plus.
C'est la fameuse "mémoire de l'eau".
Ces travaux, publiés un peu vite compte tenu du conservatisme logiquement prudent
de la communauté scientifique, causeront sa perte

La communauté scientifique n'était en effet pas prête à l'époque à admettre, au moins mentalement,
qu'il puisse exister en biologie moléculaire une influence autre que matérielle.

Quelques liens (videos) :
MULTIPLEX spécial Jacques Benveniste
Jerome Benveniste et Jamal Aissa - 2007


Et ou en sommes nous aujourd'hui


 Le colloque organisé à l'UNESCO le mercredi 8/10/2014 par le Pr. Luc Montagnier :
"La biologie à la lumière des théories physiques : nouvelles frontières en médecine",
donne une place d'honneur à l'EAU.
Durant ce colloque, l'intervention de Marc Henry, physicien de l'Université de Strasbourg.
fait le point de la connaissance sur l'eau, matière qui nous parait si simple... et pourtant !
Le colloque nous fait toucher du doigt les enjeux scientifiques,
intellectuels et économiques de cette possible révolution.

Voir l'article ici sur le colloque (pdf)


Si on peut regretter une fois de plus que le paradigme soulevé par une nouvelle idée engendre plus de replis que d'entousiasme,
certains intérêts économique ont dores et déjà conscience des enjeux. Ils en ceuillerons les fruits le moment venu.
Souhaitons également que les effets nocifs soient pris en compte à temps, afin d'éviter des conséquences sanitaires redoutables.



L'expérience de Montagnier

Avant ce colloque, le Professeur Montagnier avait repris les travaux de Jacques Benveniste,
pour les étendre aux domaines des virus et des bactéries. Il l'explique dans la video suivante 

On a retrouvé la mémoire de l'eau

En sommes-nous aux prémices de la biologie numérique ?
Les ondes, à la source de bien des tourments...... permettront-elle demain de soigner ?

Le Professeur Montagnier (prix Nobel pour sa découverte du virus du SIDA) nous l'explique :
les applications existent semble-t-il déjà : identification des signaux d'agents pathogènes dans le sang de jeunes autistes...
... et mise en place du traitement adequat avec des antibiotiques !

Des applications plus révolutionaires  encore pourraient être envisagées.
Mais la communauté scientifique est fermement opposée à cette approche.
Imaginez ! Soigner avec des ondes à la place de médicaments !
Beaucoup d'argent pour trouver les fréquences... et des coûts de traitement négligeables.
Plus de trou de sécu... mais beaucoup moins de revenus pour les labos !
Steeve Jobs avait envisagé cela en 2013 : un smartphone qui permette de se soigner !



Cet étrange témoignage video, (France 5 le 4/08/2014) au confluent entre la biologie moléculaire et la physique quantique...
... reprend la piste de travaux sur la mémoire de l'eau qui sentirent le souffre à une époque pas si lointaine.
Des chercheurs Français et Italiens participent à cette aventure audacieuse peu orthodoxe, en reprenant les travaux de Jacques Benveniste.

A cette échelle du nanomètre, nous entrons dans le domaine de la physique quantique bien peu familère aux biologistes.

L'explication théorique de ces phénomènes encore à confirmer en est encore à ses balbutiements :
les ondes électromagnétiques émises par un composant chimique comme l'ADN par exemple,
sont ensuite piègées par des structures aqueuses (
"domaine de cohérence quantique" ) enregistrant ces ondes après plusieurs dillutions.  
  
échantillon de départ mémorisation dilutions successives
dilution finale (D6 et D7) prise d'échantillon émission ondes

 L'enregistrement des émissions électromagnétiques sur un support informatique permet de mémoriser la structure de la substance de départ.
La substance est ensuite communiqué à quelques miliers de Km, en Italie, au format numérique.
La lecture de cet enregistrement par un échantillon aqueux comprenant les composants chimiques de base, permet de reconstruire l'ADN de départ via la technique de la PCR (Polymerisation Chain Réaction) , bien connue des laboratoires d'analyse médicale et de la police scientifique.
C'est cette expérience résumée ci-dessous qui est décrite dans la video.


En France En Italie
1 - émission ondes 2 - réception ondes 10 - comparaison des échantillons 9 - construction de la matière
4 - stockage du signal 3 - amplification du signal 8 - conversion du signal en ondes
 =>
5 - numérisation du signal  6 - lecture, communication   7-réception du signal en Italie
   
Si la communauté scientifique est hostile à ses recherches,  Luc Montagnier (prix nobel de médecine) nous rappelle cependant :
"Quand des nouveaux concepts émergent, au début ils sont très attaqués, puis ils finissent par être acceptés par tout le monde."
Marc Henry (professeur de chimie et de physique quantique) souligne de son côté que "L'éternel problème de la science est le changement de paradigme. On évolue dans un cadre... et à un moment donné, on sort par le haut".
Il dira plus loin : " il faut abandonner ses croyances, et se jeter à l'eau"
Giuseppe Vitiello (professeur de physique) conclu admirablement ce documentaire : "Faire de la recherche, c'est avant tout être à l'écoute, c'est croire en quelque chose, mais aussi être prêt à admettre le contraire, et là, vous êtes complètement libre."

Grâce à quelques "révolutions copreniciennes", la science a cru en sagesse, en modestie, en efficacité.
Avec Galilée et l'héliocentrisme... nous ne sommes plus au centre de l'univers.
Avec Darwin et l'evolution des espèces... nous sommes redevenus des animaux comme les autres.
Avec Freud et l'inconcient... nous sommes conscient des limites de notre mental.
Alors, qui sont les suivants... les prochains ?
Feu Jacques Benveniste ? Les protagonistes de cette video : Luc Montagnier, Giuseppe Vitiello, Marc Henry,
ou d'autres comme Brian David Josephson
qui travaille sur ce sujet (prix nobel de physique).
Serons-nous demain plus à l'écoute d'une molécule symbole de vie dont nous sommes composé à 99% en nombre : l'eau ?


Au bout des recherches de ces chercheurs, il y aura peut être des applications bénéfiques pour la santé.
Alors, souhaitons leur bonne chance... tout simplement !





Brian Josephson... l'autre prix Nobel

Apparemment, le prix Nobel donne une certaine liberté de pensée et d'action.
(C'est d'ailleurs ce qu'en dit Luc Montagnier - prix Nobel - dans la première video)

Ainsi, Brian Josephson, prix Nobel de physique en 1973 pour ses travaux sur les supraconducteurs,
a également préfacé le livre de Jacques Benveniste "Ma verité sur la mémoire de l'eau" (Cf.
ici),
Il avait rencontré ce dernier quelques mois avant la parution de son article très controversé, publié par Nature en 1988
.
Brian Josephson s'est touné depuis vers la mémoire de l'eau et l'homéopathie.



Il explique (version originale 
sur son site ):
« [...] les critiques qui tournent autour du nombre ridiculement faible de molécules dissoutes présentes dans une solution
après qu'elles ont été maintes fois diluées sont hors propos, puisque les défenseurs des remèdes homéopathiques
attribuent leurs effets non à des molécules présentes dans l'eau, mais à des modifications de la structure de l'eau. »






Masaru Emoto... un japonais original

Ce chercheur et docteur en médecine alternative, décédé en 2014,
a mis au point avec son équipe une méthode d’observation des cristaux d’eau gelés par la photographie.

Lui aussi s'intéresse à la structure de l'eau.
Il aurait découvert  que les cristaux étaient très différents selon la provenance de l’eau.

Les eaux pures et vives formant de beaux cristaux harmonieux,
les eaux stagnantes ou usées forment des cristaux incomplets, disharmonieux, voire une absence de cristaux.

Voir la vidéo Water, Le Pouvoir Secret de l'Eau